« These desperate situations seem to contradict the material improvements that typify many histories of the period. »
En une phrase, Robb résume Karl Polanyi’s The Great Transformation: The Political and Economic Origins of Our Time: tout le monde s’est enrichi selon toutes les mesures – ce qui a été perdu est simplement immensurable.
Non j’ai pas lu le livre, j’ai juste lu l’analyse / résumé par Samzdat: The Meridian of Her Greatness. Me jetez pas de pierre, je fais du blogcore.
Cette thèse est aussi… battue en brèche par Discovery of France. Oui, il y a une perte de culture et de communauté. Mais les « sens et spiritualité perdus » selon les meilleurs critiques de la modernité, sont en partie un mirage. Sortir de l’infirmité et des vies passées à attendre la mort, c’est aussi un gain invisible.
Évidemment, c’est un autre genre de malheur que d’être le dernier « moche » quand tout le monde est devenu beau – et se montre à la télé et dans les magazines.
Fond musical pour l’écriture de ce billet: Roll, Northumbria – the Dreadnoughts